Utilisation du bouchon d’origine
La solution la plus simple reste encore de remettre le bouchon d’origine. S’il s’agit d’un bouchon en liège, il est conseillé d’insérer la partie qui a été en contact avec le vin, moins exposée aux bactéries extérieures. Cependant, ce geste, un peu automatique, présente des limites : l’étanchéité n’est jamais parfaite et le liège peut être imbibé, ce qui favorise l’oxygénation lente et, in fine, l’altération aromatique.
Bouchons hermétiques spécifiques
Pour une protection accrue, les bouchons hermétiques en silicone ou en acier inoxydable sont de précieux alliés. Adaptés à la majorité des goulots (y compris ceux du champagne via des modèles dédiés), leur système de clapet ou de joint empêche l’air d’entrer et limite l’évaporation des arômes. Certains modèles, comme les bouchons stop-gouttes, associent praticité et efficacité pour une première barrière contre l’oxygène.
- Bouchons en silicone : Sans goût, réutilisables, faciles à nettoyer et sobres dans leur design.
- Bouchons à levier pour effervescents : Indispensables dès qu’on souhaite préserver de la bulle, en permettant de conserver la pression interne jusqu’à trois jours dans de bonnes conditions (source : Comité Champagne).